Les enfants viennent presque tous les soirs pêcher de petits poissons au quai de la Baie des Vierges. Les enfants de Fatu Hiva sont très souvent dans la nature même si chaque foyer dispose aujourd'hui d'une télévison. A Fatu Hiva, peu de gens sont salariés et vivent de l'artisanat, des revenus aléatoires qui peuvent être tout de même conséquent. Seuls deux magasins approvisionnent la population à des prix exhorbitants. A Fatu Hiva, plus qu'ailleurs, il est donc d'usage de transmettre dès le plus jeune age à se débrouiller avec la nature, ramener de quoi se nourrir. Une école alternative adaptée à la vie locale qui se déroule dans la joie.
Un adulte pêche de quoi manger - Baie des Vierge.
Baie de Omoa, de jeunes hommes pêchent de quoi manger le soir. A Fatu Hiva, seulement une vingtaine d'employer salariés (fonction publique) pour 600 habitants. Il faut souvent se débrouiller pour manger et les habitants pratiques régulièrement la chasse au cochon sauvage ainsi qu'à la chèvre qui sont très consommé.