ROPATI Tihoni - Responsable technique de la centrale de Hanavave travail sur la turbine. Financement par l'AFD, à 30 ans d'intervalle, de deux centrales hydroélectriques dans deux vallées de l'île de Fatu Hiva dans l'archipel des Marquises. La centrale de la vallée d’Omoa a été financée par l’AFD il y a 30 ans et inaugurée en 1987. La centrale de la vallée d’Hanavave a été financée par l’AFD en 2013 (prêt bonifié) et est opérationnelle depuis début 2016. Elle remplace une centrale fonctionnant au fuel. Cet investissement engendrera des économies sur le coût de fonctionnement, et permettra à l’île d’être 100% autonome en électricité verte, mais aussi d’offrir un service continu aux administrés (contre 18h/24h avec l’ancienne installation au fuel de Hanavave). L’AFD a financé une partie de ce dernier projet (20 % environ), en complément des subventions de l’État et du Territoire. Des ingénieurs du Haut-Commissariat et de l’ADEME ont contribué à sa mise en œuvre technique.
ROPATI Tihoni - Responsable technique de la centrale de Hanavave, inspecte le compteur électrique d'une habitation. Financement par l'AFD, à 30 ans d'intervalle, de deux centrales hydroélectriques dans deux vallées de l'île de Fatu Hiva dans l'archipel des Marquises. La centrale de la vallée d’Omoa a été financée par l’AFD il y a 30 ans et inaugurée en 1987. La centrale de la vallée d’Hanavave a été financée par l’AFD en 2013 (prêt bonifié) et est opérationnelle depuis début 2016. Elle remplace une centrale fonctionnant au fuel. Cet investissement engendrera des économies sur le coût de fonctionnement, et permettra à l’île d’être 100% autonome en électricité verte, mais aussi d’offrir un service continu aux administrés (contre 18h/24h avec l’ancienne installation au fuel de Hanavave). L’AFD a financé une partie de ce dernier projet (20 % environ), en complément des subventions de l’État et du Territoire. Des ingénieurs du Haut-Commissariat et de l’ADEME ont contribué à sa mise en œuvre technique.
Tahaki est un artisan de la vallée d'Hanavave, ici il sculpte un tiki sur du bois de rose - Ce tiki est destiné à être vendu à l'exposition des arts marquisiens qui a lieu deux fois par an à Papeete sur une semaine. Ces expos permettent aux habitants des îles Marquises de montrer leur savoir faire et de gagner leur vie convenablement ce qui apporte plus de modernité dans leurs vies. L'argent change forcément les habitudes mais l'artisanat reste, à Fatu Hiva, l'activité principale contrairement à d'autres îles comme Hiva Oa.